Après un processus de recrutement qui a duré des mois, entre la publicité de l’offre, la sélection et les entretiens, vous avez enfin embauché quelqu’un pour ce poste vacant. Mais très vite, un problème apparaît : votre nouveau collaborateur s’avère être un mauvais choix.

Il ou elle ne respecte pas les délais, ne s’entend pas avec ses collègues, ignore la philosophie de l’entreprise ou ne fait que le strict minimum. Rapidement, vous vous demandez quels signaux vous avez manqués au cours de la procédure de recrutement.

En attendant, ce mauvais choix coûte de l’argent à votre entreprise. Pensez un peu à ce que vous dépensez pour la sélection, la nomination et la formation de nouveaux salariés. De plus, un tel collaborateur peut donner une mauvaise image de votre entreprise auprès de vos clients, et ses collègues en pâtissent également.

 

Voici le véritable coût d’un mauvais recrutement :

Perte de productivité

Suite à un mauvais recrutement, le retour sur investissement du poste en question diminue. Sur le long terme, cela représente un impact sur les résultats de l’équipe en général. Car les autres devront en faire davantage pour compenser les mauvaises prestations de leur nouveau collègue.

Si vous ajoutez à cela qu’ils pourront difficilement respecter les accords, tenir les délais et délivrer un travail de qualité suffisante, vous savez par avance que cela va vous coûter de l’argent.

 

Mauvaise ambiance de travail

Un mauvais recrutement peut avoir de sérieuses conséquences. Sur le long terme, cela influence la productivité de l’ensemble de l’équipe. Les employés qui devront en faire davantage à cause de leur collègue, mais qui n’obtiendront rien en retour, vont perdre de leur motivation et — si rien n’est fait — chercher ailleurs.

 

Encore un remplacement, encore des coûts

Embaucher du personnel et le remplacer représente des coûts, et du temps. Il faut rédiger l’offre d’emploi, la publier et en faire la publicité, éplucher CV et lettres de motivation, organiser des entretiens. Pendant ce temps, d’autres équipes risquent donc de se retrouver en sous-effectif. Même une fois que vous aurez choisi quelqu’un, il faudra encore trouver le temps d’aider ce nouveau collègue dans sa prise de poste. Et si ce recrutement se révèle être une déception de plus, vous n’aurez plus qu’à tout recommencer, encore une fois.

 

Recruter la bonne personne

En résumé : gérer les conséquences d’un mauvais recrutement vous coûte au final plus cher que de trouver la bonne personne dès le départ. L’essentiel est que vous soyez conscient du problème et prêt à y remédier.

Chez Robert Half, nous sommes là depuis des années pour aider les entreprises à recruter de nouveaux talents et à réduire au minimum le risque d’un mauvais choix.

Nos experts par secteurs définissent avec vous le profil idéal pour le poste en question, élaborent la description du poste, vérifient les références des candidats et gèrent pour vous tout ce qu’un recrutement implique. Mais nous sommes également à vos côtés après l’embauche, pour vous faire profiter de nos conseils et vous assister lors des évaluations.

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